Le Souvenir Français
Alpes-Maritimes
C’était le 27 avril
Journée nationale de la Déportation
Notre Secrétaire Général était parmi nous,
à noter qu’il est aussi le…
Grand Rabbin de France
Le samedi 5 avril dernier,
le comité du Souvenir Français de Grasse
a organisé
une conférence exceptionnelle sur
la «Gendarmerie sous l’Occupation - Gendarmes et la Résistance»
par Simon GUÉRIN,
spécialiste de la Première Guerre Mondiale et membre du comité.
Une cinquantaine de personnes ont assisté à cette conférence.
Après avoir rappelé les circonstances qui l’ont amené à s’intéresser à la question du jour, et indiqué les liens qui le conduisent à porter une attention particulière à cette Arme, Simon GUÉRIN a montré, diaporama à l’appui, en quoi la défaite des Armées françaises en juin 1940 avait profondément désorganisé la Gendarmerie, et en quoi ses missions traditionnelles s’étaient lourdement et gravement modifiées; en quoi les décisions du gouvernement de Vichy avaient profondément choqué les consciences de la plupart des gendarmes et de leurs officiers.
L’orateur, s’appuyant sur une volumineuse documentation et une bibliographie fournie, a pu faire comprendre le trouble des esprits d’une Arme engagée dans des actions de collaboration avec l’ennemi.
Mais, avec passion et conviction, Simon GUÉRIN a très bien mis au clair les actes plus ou moins officiels, plus ou moins clandestins, en tous les cas dignes des plus beaux éloges, pour un nombre significatif de gendarmes de demeurer fidèles au devoir de protection de la population, au devoir de solidarité et d’entraide, au prix d’une lourde répression d’une partie de la hiérarchie, répression souvent dramatique de la part de l’occupant nazi.
Un développement conséquent a pu être consacré aux actions directes de gendarmes, à titre individuel, mais aussi parfois en tant qu’unités constituées, aux combats, avant la Libération du pays par les troupes alliées, au côté des maquis et de la Résistance, mais aussi participation effective, armes à la main, au moment de la Libération elle-même.
Enfin ont été soulignés les engagements fréquents de nombreux gendarmes et officiers, dans la plus stricte clandestinité, pour la sauvegarde d’enfants et de familles juives, plusieurs dizaines d’entre eux ayant même été reconnus «Justes parmi les Nations».
Au fil de l’exposé, l’orateur n’a pas manqué de rappeler quelles ont été les implications de l’Arme de la Gendarmerie auprès des populations du département des Alpes-Maritimes, tout particulièrement auprès de la forte communauté juive autochtone, elle-même submergée par les vagues successives de réfugié(e)s ayant fui les persécutions nazies.
Au terme de cette conférence, et après un échange enrichissant avec la salle, tout le monde s’est retrouvé autour d’un verre et d’un goûter offert par le comité de Grasse du Souvenir français, poursuivant ainsi les échanges et resserrant les liens d’amitié et de camaraderie.
À l’initiative d’Ali AMRANE,
Président de l’Association des
Anciens Combattants Harkis de Grasse
et Ami(es), six adhérents du comité du
Souvenir-Français de Grasse 06,
ont accompagné des amis harkis pour une sortie à destination du Centre de Documentation Historique sur l’Algérie (CDHA) à Aix-en-Provence, le vendredi 28 février.
Madame Martine IVARA-DEVENEY, Présidente du CDHA, accompagnée par deux bénévoles, ont accueilli et guidé la délégation pour une visite du CDHA.
Cette visite a permis aux adhérents de découvrir notamment la salle de lecture, puis la salle des archives, qui regroupe tous les documents de personnes ou familles d’Afrique du Nord. Provenant de prêts, de dons ou de donations, tous ces documents sont nettoyés, répertoriés, numérisés et valorisés afin de constituer un fonds pouvant ainsi servir à divers écrivains, historiens ou chercheurs.
La visite fut suivie d’un apéritif et d’un repas servi sur place par des bénévoles toujours souriants.
Ce moment très convivial précédait une séance de cinéma à l’occasion de laquelle furent diffusés plusieurs courts métrages sur l’Algérie.
Le CDHA, association nationale créée dans le cadre de la loi de 1901, reconnue d’utilité publique le 30 septembre 1985, fonctionne avec des bénévoles. Il est financé par les cotisations et dons de ses adhérents, des dons de membres bienfaiteurs et pour un tiers par des subventions des collectivités territoriales.
Le comité du Souvenir Français de Grasse remercie le Président Ali AMRANE pour son initiative et son invitation à imprégner les adhérents de cette culture harkie et pied-noir méconnue, pourtant pas si lointaine.
notre Marie-Pierre médaillée !
C’est avec une grande émotion non dissimulée que Marie-Pierre a reçu la Médaille de la Ville de Villeneuve-Loubet lors de sa cérémonie des vœux 2025 par Monsieur le Maire Lionnel LUCA.
Être mise à l’honneur pour son engagement dans la transmission de la Mémoire auprès des jeunes et des citoyens de sa commune est une grande reconnaissance qui l’a visiblement profondément touchée.
Vie du Souvenir Français de Villeneuve-Loubet
UN COLIS POUR UN SOLDAT FRANÇAIS
Le Comité du Souvenir Français a participé activement au Marché de Noël de Villeneuve-Loubet, en collaboration avec l'Association des Amis du Musée Militaire.
Objectifs de l’action :
Faire connaître les missions des soldats français en opérations extérieures (OPEX) auprès du grand public.
Récolter des fonds pour soutenir l’initiative "Un colis pour un soldat français", en partenariat avec la FNAME-OPEX (Fédération Nationale des Anciens des Missions Extérieures).
Cette initiative vise à envoyer des colis de Noël aux militaires français déployés en opérations extérieures (OPEX) pour apporter un soutien moral et matériel aux soldats éloignés de leur famille pendant la période des fêtes de fin d’année.
L’action témoigne de notre reconnaissance et solidarité envers les militaires qui œuvrent pour notre sécurité.
Le Comité du Souvenir Français et les Amis du Musée Militaire ont proposé des informations pédagogiques sur les missions des soldats ,présentation des actions caritatives et mémorielles.
et collecte de dons pour financer les colis de Noël destinés aux soldats.
Un réel intérêt manifesté par les visiteurs, et une belle mobilisation en faveur des soldats en OPEX.
Cette journée fut un succès pour renforcer le lien Nation-Armée et sensibiliser les citoyens aux sacrifices consentis par nos militaires.
Le Comité du Souvenir Français remercie chaleureusement tous les participants et donateurs qui ont contribué à cette noble cause.
Marie-Pierre Ferrucci-Feigenspan
Présidente du Comité du Souvenir Français
Photograhies Souvenir Français
LA VIE du COMITÉ
Les Baïles du Loup
Section Villeneuve-Loubet
Cérémonie en hommage à
la dissolution de la FSSF à Villeneuve-Loubet
En ce jour solennel, nous avons commémoré les 80 ans de la dissolution de la FIRST SPECIAL SERVICE FORCE (FSSF) à Villeneuve-Loubet. Cette cérémonie, riche en émotion et en mémoire, s’est déroulée en présence de l’Association Special Force Memory, de Monsieur Christian VIALLE, adjoint Nation-Armée représentant Monsieur le Maire Lionnel LUCA, et de Madame Marie-Pierre FERRUCCI-FEIGENSPAN, Présidente du Comité du Souvenir Français.
La commémoration a permis d’honorer les sacrifices de ces héros américains et canadiens qui ont marqué notre territoire par leur bravoure et leur dévouement, et de transmettre aux générations présentes le devoir de mémoire et de gratitude envers ceux qui ont combattu pour notre liberté.
Un moment empreint de respect et de reconnaissance, soulignant l'importance de ne jamais oublier les pages d'histoire qui ont forgé notre présent.
Marie-Pierre Ferrucci-Feigenspan
Présidente Souvenir Français
Photographies
Special Force Memory
Nice-Matin du 8/11/2024 .
Courir pour se souvenir : 200 collégiens à
la 11e édition du Cross du Poilu à Antibes
Ce jeudi 7 novembre, près de 200 collégiens antibois ont participé à la 11e édition du Cross du Poilu, organisée par la Ville au Fort Carré. L’objectif ? Allier sport et histoire.
Un cross pour la mémoire. Jeudi matin, près de 200 collégiens, issus de tous les établissements d’Antibes, se sont donné rendez-vous au Fort Carré pour la 11e édition du Cross desPoilus. L’objectif pour ces jeunes scolarisés en classe de 3e ? Allier compétition et sensibilisation aux commémorations du 11-Novembre, puisqu’après la course, organisée avec le concours du club de l’Espérance Racing Athlétisme d’Antibes, un petit défilé avec des tenues d’époque et une cérémonie de dépôt de gerbes au Poilu étaient organisés. "L’idée de la course à pied est un prétexte pour faire venir les jeunes au stade, devant le plus haut monument aux Morts de guerres de France, explique Hassan El Jazouli, conseiller municipal délégué à la citoyenneté et à la transmission de la Mémoire de la ville d’Antibes, et professeur d’histoire-géographie au collège de la Fontonne. Cela fait 10 ans que nous organisons ce rassemblement, et dès la première édition, l’adhésion de la part des collèges a été totale. Depuis, nous avons reçu trois labels: par la Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale, par le Comité académique de l’Éducation nationale, et par le ministère des Armées ‘‘Aux sports jeunes citoyens’’. Ce cross a une vocation pédagogique et mémorielle."
"L’engagement personnel et le dépassement de soi"
Car au-delà de réaliser une pratique sportive et d’assister à une cérémonie commémorative, c’est l’occasion pour les adolescents de partager des valeurs véhiculées par le sport, mais aussi par l’armée. Des valeurs défendues par les Poilus lorsqu’ils étaient sur le terrain. "Que ce soit pour cette course ou lors d’un combat, on met en avant l’engagement personnel et le dépassement de soi, reprend Hassan El Jazouli. Il y a aussi beaucoup de solidarité et d’échanges, lorsque l’on voit les jeunes sportifs s’encourager et s’entraider."
La cohabitation entre le sport et l’histoire est-elle une recette gagnante? " Cela donne un sens à l’apprentissage, indique Fabrice Escaffre, directeur du collège Notre-Dame de la Tramontane. Tout a été préparé en avance: les cours d’histoire ont forcément évoqué la Première Guerre mondiale, et les cours d’EPS ont servi de préparation sportive à la course. Courir à l’occasion de cette commémoration permet de prendre conscience de l’effort physique et du devoir de mémoire indispensable."
Un partage de valeurs citoyennes
Alors que la paix est loin de régner dans le monde, où les conflits sont malheureusement légion, la pratique du sport pour les combattants dispose de vertus qui vont au-delà du simple effort physique. "Pour les militaires blessés, quels qu’ils soient, le sport est un vecteur de réinsertion, analyse Rémy Giacchero, directeur du service départemental des Alpes-Maritimes de l’Office national des combattants et des victimes de guerre. Car, pour eux, avoir un corps en bonne santé est primordial à la pratique de leur vocation. Pour tous, une bonne santé passe par la pratique du sport et le partage de valeurs citoyennes défendues par les militaires et les sportifs."
"Cela permet de nous intéresser davantage à ce que nous apprenons"
Et les principaux intéressés, qu’en pensent-ils? "C’est une bonne idée, cela permet de nous intéresser davantage à ce que nous apprenons", confie une collégienne de Bertone. Une autre, allongée sur la pelouse un peu plus loin, visiblement exténuée par la course, acquiesce: "C’est une autre manière d’apprendre, différente de celle que l’on a en classe."
Une initiative qui a, en tout cas, a rencontré hier un franc succès. Surtout auprès de Lara Claudet et Issouf Koné, les deux grands vainqueurs sportifs de ce 11e Cross du Poilu.
Nice-Matin du 5/11/2024
Plus d'un siècle après la fin de la Première Guerre mondiale,
Mujouls érige enfin son édifice mémoriel pour honorer les dix enfants du village tombés au front
Après le premier conflit mondial, les villes et les villages français entreprennent l’édification de monuments aux Morts en hommage à leurs concitoyens pour la patrie.
La grande période bâtisseuse de cette œuvre d’envergure se situe dans lesannées 1920. Très souvent, aux morts de la Grande Guerre sont ajoutés ceux d’autres conflits.
Aux Mujouls, village perché du pays grassois, il n’y a pas de monument aux Morts. L’édifice mémoriel n’y a été érigé. Ce qui est rarissime en France.
Un long travail de recherches
Mais cela va changer grâce au premier magistrat, Grard Bouchard, qui a décidé, avec ses administrés, d’en ériger un: "Après un travail de recherches, réalisé par Christophe Bailet, originaire du village, nous avons constaté que dix personnes de la commune étaient décédées au cours de conflits, depuis 1855."
Et le maire de poursuivre: "Les Mujoulois qui ont été maires au cours des années qui ont suivi le premier conflit mondial n’ont entrepris aucune démarche pour édifier un tel monument mémoriel. Il en est de même pour leurs successeurs. Il faut avouer que notre village a toujours eu peu de moyens et que d’autres priorités ont sans doute prévalu, telle que la construction de la mairie, des travaux de voirie ou de réhabilitation de l’habitat."
Pour le président des anciens combattants de Saint-Auban, Daniel Maiarelli, l’initiative du maire est remarquable: "C’est vraiment très important de mettre à l’honneur ces soldats qui sont morts pour la France et nous avons voulu participer financièrement à cette réalisation."
Le Souvenir français a également apporté son soutien à la municipalité comme le précise sa présidente régionale, Marie-Pierre Ferruci, qui a souhaité "saluer la démarche de Gérard Bouchard qui, une centaine d’années après le début du conflit, met à l’honneur les combattants de son village". Le Crédit Agricole de Saint-Vallier et le Département ont aussi apporté leur contribution à ce projet exceptionnel.
Les pierres de l’ancien pont réutilisées
Le monument aux Morts sera construit avec les pierres de la pile centrale de l’ancien pont de l’Estéron, emporté par une crue dans les années 1990 et remplacé depuis par une passerelle.
L’emplacement choisi se situe en contrebas du village sur l’ancien chemin de Gars. C’est l’entreprise Côte d’Azur hygiène service qui exécute les travaux avec l’aide de bénévoles.
Le conseiller municipal Christian Caietta emploie ses week-ends et son temps libre à l’édification du monument. Et Gérard Bouchard de conclure: "En honorant ces hommes morts au combat, nous transmettons des valeurs essentielles de courage, de résilience et de dévouement aux générations futures."
Dimanche 20 octobre 2024
VILLENEUVE-LOUBET
Place de la France d’Outre-Mer
En hommage aux 58 soldats français ayant trouvé la mort le 23 octobre 1983 à Beyrouth et aux morts pour la France en OPEX, une cérémonie départementale, sous la présidence du préfet Hugues Moutouh (représenté par Philippe Loos, Secrétaire général de la préfecture des Alpes-Maritimes), a été organisée en présence notamment des associations patriotiques, de Monsieur le Député Bryan Masson, de Monsieur le Maire Lionnel Luca, de la 1ère Adjointe au Maire, Marie Benassayag, de M. Christian Vialle (Adjoint au Maire, délégué au Lien Nation-Armée), ainsi que des membres du Conseil Municipal de Villeneuve Loubet.
La cérémonie s'est déroulée en plusieurs temps forts : allocutions de M. le Maire et du Secrétaire général des Alpes-Maritimes, récit des événements du Drakkar par le Général Bernard Serpol (en présence des familles des soldats Bagnis et Di-Masso, ainsi que de Lucien Jacquart, rescapé de l'attentat), dépôts de gerbes devant la stèle du Souvenir, remerciements auprès des associations patriotiques et des porte-drapeaux.
Lors de cette cérémonie, où l'actualité du Proche-Orient fait écho avec les événements tragiques du 23 octobre 83 à Beyrouth, M. le Maire a rappelé que : "l'adversaire d'hier, c'est celui qu'on retrouve aujourd'hui". Et poursuit plus loin : "Ce combat pour la liberté, nous devons le mener chez nous, et c'est une grave erreur de penser que cela ne nous concerne pas. Célébrer le passé est une chose, bâtir l'avenir en est une autre".
L’exposition à
GUILAUMES
C’était le 13 juillet 2024
Organisée par
le comité de Guillaumes
et l'association
Special Force Memory,
La Vie du Souvenir Français
Délégation des Alpes-Maritimes
Le jeudi 4 juillet
la délégation du Souvenir Français commémore
Mers-el-Kebir
à Villefranche sur Mer
Petit rappel historique :
Le 3 juillet 1940, la rade de Mers-el-Kébir, située près d’Oran en Algérie, fut le théâtre d’un tragique affrontement naval entre la flotte britannique et la marine française, un événement marquant de la Seconde Guerre mondiale.
Après la capitulation de la France en juin 1940, le gouvernement de Vichy, dirigé par le maréchal Pétain, signe l’armistice avec l’Allemagne nazie. Winston Churchill, Premier ministre britannique, craint que la puissante flotte française ne tombe entre les mains des Allemands, ce qui représenterait une menace sérieuse pour la sécurité du Royaume-Uni.
Dans ce contexte tendu, l’amiral britannique James Somerville reçoit l’ordre de neutraliser la flotte française ancrée à Mers-el-Kébir. Le 3 juillet, il transmet un ultimatum aux commandants français : rejoindre la Royal Navy, désarmer leurs navires sous surveillance britannique, ou être coulés. Les Français, sous les ordres de l’amiral Marcel Gensoul, refusent de se soumettre à cet ultimatum, souhaitant préserver l’honneur et l’intégrité de la flotte.
En fin d’après-midi, faute d’accord, la flotte britannique ouvre le feu. En quelques minutes, des obus lourds frappent les navires français, causant des destructions considérables. Le cuirassé "Bretagne" explose et coule rapidement, emportant avec lui plus de 1 000 marins. D’autres navires, tels que le "Dunkerque" et le "Provence", sont gravement endommagés. Au total, près de 1 300 marins français périssent dans cette attaque.
Cet événement douloureux, souvent considéré comme une tragédie fraternelle, a des répercussions profondes. La France, choquée et indignée, voit dans cette action une trahison de ses alliés britanniques. Cependant, du point de vue britannique, cette décision difficile est vue comme un mal nécessaire pour empêcher les navires de tomber entre des mains hostiles.
Aujourd’hui, la commémoration des combats de Mers-el-Kébir nous rappelle les complexités et les horreurs de la guerre, où des décisions difficiles ont des conséquences tragiques. Nous rendons hommage aux marins français qui ont perdu la vie ce jour-là, et nous nous souvenons de l’importance de la paix et de la diplomatie pour éviter de tels conflits à l’avenir.
Photographies du service communication de la Mairie de Villefranche sur mer
La vie du Souvenir-Français
de Villeneuve-Loubet
Sortie des élèves de CM2 de l'école Antony Fabre au Musée des Troupes de Marine de Fréjus et sur une des plages du débarquement : le Dramont.
Récemment, une sortie éducative a été organisée pour les élèves au Musée des Troupes de Marine de Fréjus, offrant une opportunité unique d’explorer l’histoire militaire et de commémorer des événements significatifs.
La visite a commencé par une découverte approfondie du Musée, où les élèves ont pu admirer diverses expositions retraçant l’histoire des troupes de marine. L’exposition sur le débarquement de Provence a particulièrement capté leur attention, offrant un aperçu détaillé des opérations militaires cruciales qui ont eu lieu pendant la Seconde Guerre mondiale.
L’excursion s’est poursuivie avec une visite sur la plage du débarquement du Dramont, lieu emblématique où les troupes alliées ont débarqué pour libérer la France en août 1944. Une explication enrichissante sur les événements qui s’y sont déroulés a permis aux élèves de mieux comprendre l’importance stratégique de ce site historique.
Le point culminant de la journée a été la cérémonie à la stèle des Alliés. Chaque élève a eu l’honneur de déposer une fleur en hommage aux soldats qui ont combattu pour la liberté. Ce moment solennel a été rehaussé par la présence de plusieurs personnes sur le site, qui se sont jointes aux élèves pour chanter La Marseillaise, rendant ainsi un vibrant hommage aux alliés.
Cette sortie a non seulement enrichi les connaissances historiques des élèves, mais a également renforcé leur sens du devoir de mémoire et de respect envers ceux qui ont sacrifié leur vie pour notre liberté. C’est par de telles initiatives que Le Souvenir Français assure la transmission des valeurs et des leçons du passé aux générations futures.
Exposition réalisée par la SFM
pour les élèves de l'école primaire Du TIGNET
les 16, 17 et 18 juin derniers.
Le 31 mai, cérémonie d'hommage à M. Clément REBUFFEL organisé à Séranon/La Doire par le comité de MOUGINS, pour les élèves de l'école primaire Clément REBUFFEL avec la participation de l'association Special Force Memory.
Le comité de Tourette Levens a sollicité la SFM pour 3 jours d'expositions sur la libération du 06 par la FSSF les 12 (pour le public), 13 et 14 mai (pour les élèves de l'école primaire et du collège).
Pour le nombre total d'élèves de 3ème et CM1/CM2 qui ont visité l'exposition, il semble qu’is étaient environs de 300.
Pour le dimanche 12, il faut compter environ une centaine de visiteurs.
C’était la cérémonie du 8 mai 2024
à St Cezaire-sur-Siagne
au cours de laquelle Mme la Déléguée Générale Départementale remettait à 37 enfants de l'école primaire un diplôme de gardien de la mémoire,
la Directrice de l'école et la présidente de la chorale à tout cœur recevaient un diplôme d'honneur du SF.
Le comité de St Cezaire offrait une casquette du SF à chaque élève présent.
L'année 2023 et ce début d'année 2024 ont été marqués par une participation importante des élèves qui avec la chorale chantent au cours des cérémonies.
Concours de la Résistance
pour les classes de CM2 des Alpes Maritimes
Remise des Prix aux lauréats
7 classes ont participé
4 ont été récompensées.
"À titre d’expérimentation, pour la session 2023-2024 du concours, dans quelques départements, les recteurs d’académie permettront, en lien avec les directeurs académiques des services de l’Éducation nationale concernés, la candidature collective d’élèves de CM2 issus d’écoles publiques ou privées volontaires à un concours adapté.
Le thème de base du concours 2023-2024 était :
"Résister à la Déportation en France et en Europe”…
C’est un concours scolaire qui s’appuie sur l’enseignement de l’histoire, de l’histoire des mémoires, de la Résistance et de la Déportation. Chaque année, un thème est défini, pouvant faire l’objet d’un véritable travail interdisciplinaire. Ce concours s’inscrit ainsi dans une démarche d’éducation à la citoyenneté et est une composante essentielle du parcours citoyen de l’élève."
Concernant ce concours, le Souvenir Français a remis aux 4 classes nominées la BD "Maréchal Juin" et une BD "La ligne Maginot" du sud de la France.
La remise de prix s’est effectuée le mardi 7 mai 2024, dans le Grand Salon du Palais de la Préfecture (Palais Sarde) en présence de monsieur Hugues MOUTOUH (Préfet des Alpes-Maritimes), madame WILLEMS (Coordinatrice académique Mémoire Citoyenneté et Défense), monsieur NOAILLE (Inspecteur d’académie Référent), madame MATTEI-BATTESTI(Association Résistance et Déportation), monsieur GIACCHERO (Directeur O.N.A.C), madame le Colonel FIX représentant monsieur ESTROSI et du Souvenir Français représenté par Marie-Pierre FERRUCCI-FEIGENSPAN.
© Souvenir Français - Alpes-Maritimes 2025